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Un Vaporisateur C’est La Santé, La Combustion C’est Démodé !!

Avertissement : Cet article n’a en aucun cas pour but d’inciter à la consommation de cannabis, au contraire il a pour but de mettre en avant la prévention et la réduction des risques chez les utilisateurs. La consommation de cannabis est interdite en France, nous relatons simplement une expérience. N’étant pas médecins, en aucun cas nous ne pouvons donner des conseils thérapeutiques, prenez le texte ci dessous pour ce qu’il est, le récit de l’expérience et de la recherche d’un utilisateur de vaporisateur convaincu, rien de plus.

Arizer-VS-Volcano

Hello tout le monde, me revoilà sur le pont (après de trèèès longues vacances) pour vous parler de ma (très) petite expérience de la vaporisation et des vaporisateurs. Comme pas mal de monde, je connaissais le fameux Volcano depuis des lustres, mais je n’en avais jamais vraiment compris le réel intérêt, et pour cause c’est un vaporisateur de salon avec un ballon, le top de sa gamme mais pas du tout pratique ni intuitif quand à son utilisation, et relativement cher de surcroit. Difficile donc d’imaginer que cette machine pourrait être le salut de beaucoup de fumeurs, je le voyait plus comme une espèce de bang électrique (honte sur moi, je sais ^^). Mais voilà qu’en juillet de cette année, mon acolyte me ramène un vaporisateur portable Arizer Solo, un appareil relativement léger, petit et simple à utiliser, rien à voir avec le « Volcano » même si le principe est le même : restituer sous forme de vapeur les principes actifs d’une plante ou d’une extraction. Cette fois ci il ne m’aura pas fallu très longtemps pour mieux cerner l’intérêt qu’il peut y avoir à utiliser un tel engin !

1) Qu’est ce qu’un vaporisateur ?

C’est un appareil qui permet de chauffer suffisamment de la matière végétale pour en faire s’évaporer le principe actif ou l’huile essentielle pour ensuite pouvoir l’inhaler, mais qui ne va pas la chauffer suffisamment pour en déclencher la combustion (la cellulose, composant principal de la matière végétale entre en combustion aux alentours de 230°, mais le THC s’évapore à + ou – 160°). Hors c’est la combustion qui libère tout un tas de substances toxiques et cancérigènes en émettant une fumée épaisse, irritante et malodorante. Le vaporisateur est une sorte de mini four de précision qui va donc vous permettre d’extraire et d’aspirer les huiles essentielles, ou les principes actifs  d’une plante sous la forme de vapeur et vous éviter ainsi d’absorber une grande partie des substances toxiques due à la combustion. Le gout de la plante vaporisée sera bien meilleur que lorsqu’elle est brulée. Il existe des vaporisateurs de salon (sur secteur) ou portable (sur batteries), dans une fourchette de prix comprise entre 50 et 800 euros.

2) Les avantages d’un vaporisateur par rapport à un joint

avant-apres-vaporisation

  • La propreté / l’hygiène : pas de combustion = pas de cendres ni d’odeur tenace sur les vêtements ou la peau.
  • La discrétion : pas de combustion = un peu de vapeur discrète à la place de la grosse fumé épaisse = pas d’odeur ou presque.
  • Le bien être / la santé : sans combustion, pas de fumé irritante, bien moins de goudrons, et bien moins de gaz toxiques = pas de mauvais gout dans la bouche, plus de souffle, moins d’irritation et de toux chroniques ou autres maladie potentielles.
  • Les économies : plus de feuilles ni de cigarettes à acheter, utilisation de moins de matière pour un même résultat.
  • Le gout : sans combustion le gout de la plante n’est pas altéré et se révèle bien meilleur.

Une chose certaine, ce n’est pas par  hasard que tous les thérapeutes conseillent la prise de cannabis médical, soit sous la forme de concentré de type huile ou teinture à ingérer, soit sous la forme de vapeur à inhaler, car ce sont selon eux les deux méthodes les plus sures.

3) I want to get high so high

Des études sur la combustion du cannabis VS sa vaporisation (*), nous montrent que non seulement la composition de la fumé et de la vapeur sont radicalement différentes, mais aussi que l’effet psychotrope ne sera pas le même, et cela pour plusieurs raisons :

la 1ère c’est le fait que beaucoup de substances qui induisent habituellement une somnolence (comme le benzène et le monoxyde de carbone) sont totalement absentes dans la vapeur dégagée par un vaporisateur digne de se nom.

La 2ème c’est qu’ il y a un nombre beaucoup moins important de composants chimiques dans la vapeur que dans la fumé de combustion, hors on sait que certains cannabinoides et certaines substances chimiques interagissent avec le THC, comme par exemple le CBD (**), qui lui se vaporisera à des températures un peu plus élevés que le THC (**) et sera donc moins présent avec l’utilisation d’un vaporisateur. Ce qui explique aussi que l’effet psychotrope ne soit pas identique.

En résumé, avec un vaporisateur on obtient un « high » plus puissant et plus clair qu’avec un joint, et très peu, voir pas du tout de « body stone ».

4) Choisir un vaporisateur fiable et pratique c’est essentiel pour bien en profiter et passer le pas.

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Je vais vous parler de celui que je connais le mieux, le Arizer Solo. Ma grande chance, grâce à mon acolyte, est d’avoir mis la main sur un super bon vapo dès le départ. Le Arizer Solo ne paie pourtant pas de mine, mais  il est redoutablement efficace, robuste et fiable. Entre nous, prendre un vapo à moins de 150 euros c’est courir à coup sur au devant de nombreux problèmes.

« On n’est pas assez riches pour acheter bon marché ! », et c’est bien vrai dans le cas d’un vaporisateur qui va être allumé et devoir chauffer assez souvent, il devra être de bonne facture pour ne pas vous lâcher si vous le sollicitez quotidiennement. Préférez un « vrai » vaporisateur d’une marque reconnu, à un gadget pas cher qui vous lâchera au bout de quelques jours.

Voici quelques unes des raisons qui me font kiffer particulièrement mon Arizer Solo :

  • Le coté agréable de pouvoir vapoter confortablement dans son canapé sans avoir le bruit d’un ballon en plastique (volcano) ou de câble électrique qui traine au milieu.
  • Le fait de pouvoir adapter des pipes plus longues afin de ne pas ressentir trop la chaleur de l’instrument de chauffe, et de pouvoir choisir la taille, la forme ou le diamètre que l’on souhaite (beaucoup d’autres vapo n’ont pas ce type d’accessoires supplémentaires à cause de leur conception).
  • Son flow de vapeur qui ne passe au travers d’aucunes pièces en plastiques, qui nous assure de n’avoir aucuns gouts indésirables lors de l’utilisation.
  • L’autonomie de sa batterie (environ 3h suivant la température à laquelle on l’utilise).
  • Sa rapidité à se mettre en température, en moins d’une minute on atteint allégrement les 185°.
  • Sa propension à générer de la vapeur (certains vapo en dégagent très peu, je ne sais pas pourquoi, mais celui ci en dégage pas mal)
  • Sa facilité d’entretient et de nettoyage. (comparé à certains portables indémontables, ou certains vapo de salon ou il va devoir falloir nettoyer de très longs tuyaux en plastiques…).
  • Sa garantie constructeur 2 ans.
  • Sa fiabilité (constatée par les vendeurs et les internautes au vu des très rares retours et des très rares commentaires négatifs).

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Il est à noter que passer par un revendeur officiel et agréé pour acheter votre vaporisateur vous permettra de bénéficier d’un service après vente ainsi que d’une garantie constructeur. Nous on passe par la boutique vaporisateur.net (et on a pas peur de leur faire un peu pub, on leur fait confiance ils sont au top ;)), en plus d’être revendeur officiel de bon nombre de marques reconnues et d’être localisé en France, les gars derrière le site sont des passionnés qui prendront le temps de répondre à toutes vos questions et de vous aiguiller vers le vaporisateur qui vous conviendra le mieux.

Faites bien attention avec les boutiques situées à l’étranger : La TVA et les droits de douanes peuvent vous êtes réclamés au moment de la livraison (environ 25% du prix), si la boutique n’est pas agrée par le constructeur de votre vapo, vous n’aurez aucune garantie, et pire encore, si ils vous vendent une copie vous risquez de vous intoxiquer ou d’avoir des problème de sécurité avec du matériel qui ne sera pas aux normes CE.

5) Retour d’expérience : comment j’ai dit « fuck la combustion » en moins de 24h !

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Perso je n’avais jamais perçu que la combustion avait un aussi mauvais gout, en plus d’être mauvaise pour la santé. Je crois qu’avant de passer à la vaporisation, j’aurais été bien incapable de dire quel gout a réellement une cigarette, ou quelle part du gout de ma weed est attribuable à la combustion (comme beaucoup de fumeur de longue de date j’en suis sur). 24h après avoir commencé à utiliser mon vapo, je suis devenu tout simplement incapable de tirer sur une cigarette ou sur un joint sans atrocement ressentir le gout dégueulasse du carbone et de la combustion, même un joint pur avait un très mauvais gout de vieux BBQ, certes un poils mieux qu’avec du tabac évidemment, mais vraiment dégueu quand même, ça me faisait à peu près le même effet que de croquer dans un bout de charbon. Pour résumer je suis devenu comme allergique à la combustion.

Une vraie révélation pour quelqu’un d’ accro comme moi (1 paquet de clopes /j, dont +/- 10 joints depuis 25 ans).  Mon souffle est revenu petit à petit, les odeurs, et surtout le gout aussi, plus de mal de gorge, mon bureau est propre et sent bon, je me lève beaucoup moins fatigué (je ne me rendais même pas compte que je l’étais).

J’ai donc tout simplement remplacé les cigarettes qu’il m’étais désormais impossible de fumer par des vapos de Camomille, de Damiana ou de Menthe Poivrée, cela va de 2 ou 3 vapos dans la journée, à parfois aucuns si je ne l’ai pas sous la main. Pour le cannabis, le besoin/le manque s’est fait beaucoup moins pressent depuis cette dissociation de l’utilisation de tabac, un ou deux vapo le soir, alors qu’avant j’en fumais toute la journée…. Il y a fort à parier que la nicotine et le goudron délivré par mes joints de l’époque avaient aussi pas mal à voir avec la sensation de manque que je pouvais éprouver à peine 1h ou 2 après en avoir fumer un gros.

Cela c’est passé de façon vraiment naturelle, la 1ère semaine a été légèrement stressante à cause du manque de nicotine, mais rien de catastrophique non plus… en même temps quand on a sincèrement plus du tout envie de fumer de combustion et que l’on est quasiment devenu allergique au gout, cela simplifie grandement les choses pour prendre son mal en patience… car entre être un peu stressé quelques jours, ou fumer un truc irritant , dégueulasse et ultra mauvais pour la santé (alors qu’on a une autre solution bien plus propre sous la main),  le choix est vite vu. Surtout quand on sait que le stress ne durera pas ad vitam eternam, loin s’en faut, et que l’on comprend direct qu’avec un vaporisateur on ne se prive finalement que des mauvaises choses pour ne conserver que les meilleures. Quoiqu’il en soit quand on prend vraiment la mesure des bienfaits qu’il y a à stopper la combustion, ça aide bien à passer le petit cap du manque de nicotine.

Ma conclusion/théorie, c’est que si on (ré)éduque ses papilles avec un vaporisateur, on ne peut plus (ou très difficilement) revenir en arrière, et on fini par arrêter simplement et naturellement la combustion (clope, joint, bang ect ect …) à cause du dégout que cela  provoque en comparaison de la douceur et du bon gout de la vapeur.

NB : Nous ne faisons pas de  prosélytisme, chaque personne est différente et nous ne sommes pas thérapeutes, vous devez donc garder à l’esprit que c’est l’expérience d’une personne en particulier qui est relatée ici, et qu’elle n’est pas forcement applicable/transposable à tous les cas. Cela étant dit nous sommes trois amis à avoir arrêté totalement la combustion (et la nicotine) grâce à la vaporisation. Si ce texte peut permettre à quelqu’un de se poser des bonnes questions et/ou de demander des conseils à un médecin ou a un thérapeute, et ainsi réduire les risques inhérents à la combustion, cela aura servi à quelque chose d’écrire ce retour d’expérience !

purkif-avant-apres

Références

* Traduction d’une partie de  Second-Study-Shows-Vaporizers-Drastically-Reduce-Toxins-in-Marijuana-Smoke  par Cannabis-med.org

Étude de 2001 (avec un vaporisateur « Volatizer ») (…) Gieringer a testé des vaporisateurs qui chauffent le cannabis jusqu’à 180-190°C en amenant le THC sous le point de combustion de la cellulose et d’autres éléments végétaux, réduisant la production d’hydrocarbures polycycliques. Le meilleur vaporisateur fournissait 10 parties de goudron pour une part de cannabinoïdes, les cigarettes de cannabis atteignaient le rapport de 13:1 (en moyenne), et les pipes à eau des chiffres moyens de 27:1 (…). Ainsi, les meilleurs vaporisateurs parvenaient à un rapport de performance supérieur de 25% à celui d’une cigarette de cannabis sans filtre, alors que les pipes à eau étaient moins intéressantes que les cigarettes. Il n’était pas avantageux d’ajouter un filtre à la cigarette de cannabis puisque ce dernier ne filtrait pas seulement les goudrons mais également les cannabinoïdes. Évidemment, le rapport de performance accusait une chute d’environ 30%, comparé à une cigarette sans filtre.

Dans une nouvelle étude de 2003 (avec un vaporisateur  « Volcano »), Gieringer parvint à montrer que les produits de combustion étaient substantiellement réduits en utilisant un autre vaporisateur. L’appareil utilisé fournissait du THC à une température de 185°C tout en éliminant complètement le benzène, le toluène et le naphtalène. Des quantités significatives de benzène firent leur apparition pour des températures de 200°C, alors que la combustion débutait vers les 230°C ou plus. A partir de 140°C déjà on pouvait détecter des traces de THC. Le monoxide de carbone (CO) et les goudron furent qualitativement réduits par le vaporisateur mais pas mesurés quantitativement dans cette étude. Cependant, on assista à une réduction significative de la production d’hydrocarbures aromatiques polycycliques, pendant que le cannabis vaporisé émettait un faible nuage gris transparent en laissant apparaître les restes végétaux comme un « toast »de couleur vert à vert-marron. (…)

L’analyse a montré que les vapeurs produites dans le Volcano étaient remarquablement pures, composées de 95 % de THC avec des traces de cannabinol (CBN). Les 5 % restants consistaient en de petites quantités de trois autres composants, le premier suspecté d’être un proche des cannabinoïdes, le second du PAH (hydrocarbure aromatique polycyclique), le troisième du caryophyllène, un terpène. A contrario, plus de 111 composants apparaissaient dans les gaz de combustions, y compris une demi-douzaine de PAH connus. 88 % des gaz contenus dans la fumée n’étaient pas des cannabinoïdes.

Protocoles & données, Étude complète au format .PDF (en anglais)

** Température de vaporisation des cannabinoides :

  • THC – 157 °C.(Δ-9-tetrahydrocannabinol)
    Le cannabinoïde le plus connu. Il a des effets euphorisants et analgésiques et provoque une agréable sensation de relaxation.
  • CBD – 160 – 180 °C.
    C’est le cannabinoïde le plus apprécié des consommateurs à but médicinal pour ses vastes applications médicinales. Il contre en partie les effets du THC, contrant efficacement les sensations d’anxiété et de paranoïa.
  • Delta-8-THC – 175 – 178 °C.
    Ce cannabinoïde est très proche du THC, mais il est plus stable et moins psychoactif. Il a également de bonnes propriétés anti-vomitives.
  • CBN – 185 °C.
    CBN est souvent présent en petites quantités, cependant, ses effets sont toujours perceptibles. Il décompose le THC et il est très associé à un effet sédatif.
  • CBC – 220 °C.
    Ce cannabinoïde a des propriétés anti-inflammatoires et antifongiques.
  • THCV – 220 °C.
    Le THCV a prouvé ses effets modérant les effets psychoactifs du THC, mais il faudrait plus de recherches à ce sujet.
  • Combustion: l’herbe sèche peut commencer à brûler aux alentours de 200°C. La chaleur maximale que l’herbe peut supporter avant de brûler est de 230°C environ, suivant son degré d’humidité.

Les flavonoïdes

Avec les terpénoïdes, les flavonoïdes sont peu connus comparés aux célèbres cannabinoïdes. Les flavonoïdes sont une grande catégorie de pigments végétaux qui sont parfois appelés Vitamine P. Les terpénoïdes et les flavonoïdes sont en partie responsables de l’aspect, de l’odeur et du goût de chaque variété. Ils sont la raison qui nous pousse à ouvrir le sachet d’herbe avant de l’acheter, car leur odeur révèle beaucoup du caractère de la plante.

Ils semblent également avoir des effets bénéfiques pour la santé secondaires. Ce qui suit souligne les effets et les températures de vaporisation des flavonoïdes.

  • Béta-sitostérol – 134 °C.
    Ce flavonoïde semble avoir des propriétés anti-inflammatoires.
  • Apigénine – 178 °C.
    L’apigénine semble être estrogène, anxiolytique et avoir des propriétés anti-inflammatoires.
  • Cannflavine A – 182 °C.
    Ce flavonoïde est un inhibiteur de la COX.
  • Quercétine – 250 °C.
    La quercétine est un flavonoïde antioxydant et antiviral. Il bout à 250°C, bien au-delà des températures de vaporisation du cannabis.

Les terpénoïdes

Les terpénoïdes sont structurellement apparentés aux terpènes et ils sont présents naturellement dans une grande quantité de plantes. Ils sont responsables pour partie de ce qui donne à chaque plante ses qualités aromatiques uniques. L’odeur de la cannelle, du clou de girofle et de la menthe sont des exemples de terpénoïdes bien connus. En fait, le composé psychédélique naturel le plus puissant connu, la Salvinorine A, est un terpénoïde.

Ce qui suit est une description des effets et des points d’ébullition des terpénoïdes.

  • Béta-caryophyllène – 199 °C.
    Semble être anti-inflammatoire et antipaludique.
  • Alpha-terpinol – 156 °C.
    Ce terpénoïde est un antioxydant, sédatif, antibiotique et antipaludique.
  • Béta-myrcène – 166- 168 °C.
    C’est un analgésique, antibiotique et anti-inflammatoire.
  • Delta-3-carène – 168 °C.
    Ce terpénoïde a des propriétés anti-inflammatoires.
  • 1,8-cinéole – 176 °C.
    Le 1,8-cinéole augmente la circulation sanguine cérébrale, agit comme stimulant, et c’est un antiviral, antibiotique et anti-inflammatoire.
  • D-limonène – 177 °C.
    De manière peut-être surprenante, le D-limonène est naturellement présent dans le cannabis. Il a des propriétés anti-mutagènes, d’antidépresseur et de potentialisation du système immunitaire.
  • P-cymène – 177 °C.
    Le P-cymène est un antibiotique et un agent contre le Candida albicans.
  • Linalool – 198 °C.
    C’est un antidépresseur, un sédatif et un potentialisateur du système immunitaire.
  • Terpinol-4-ol – 209 °C.
    C’est un antibiotique et un inhibiteur de l’AchE.
  • Bornéol – 210 °C.
    Le bornéol est un antibiotique.
  • Alpha-terpinéol – 217 °C.
    Ce terpénoïde est un sédatif, antibiotique, antioxydant et inhibiteur de l’AChE.
  • Pulégone – 224 °C.
    C’est un sédatif ayant potentiellement des effets améliorant la mémoire.